Archives de catégorie : Foyers Mixtes

Est-ce un péché, pour une Evangélique, de se marier avec un Catholique ??

Vous ne rêvez pas, la question a bien été posée sur le site www.questiondieu.com !!

Frère Mathias WIRZ, notre helvète de la communauté de Bosè, en Italie, y a bien répondu.

> Sa réponse ici <

mwirz

L’urgence de l’unité

par Marie Larivé

(Etudiante en théologie, membre de léquipe oecuménique de l’Evangile à l’Ecran, son blog “Verso l’Alto” est relayé par le site www.cath.ch)

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À l’heure des vœux et des résolutions, je crois bien qu’il y a une chose qui me tient à cœur pour cette année et que je veux vous souhaiter et pour laquelle je veux œuvrer en particulier: l’unité.

C’est qu’avec cette grande agora que nous offre internet, où chacune de nos opinions peut être librement exprimée, chaque idée commentée, débattue, déformée, il m’apparaît de plus en plus que le péril qu’est la dissension peut sans relâche s’y abreuver, grâce à nous.

Quel intérêt à la dissection du moindre mot du pape pour en traquer ses défenseurs et ses adversaires? Du moindre mouvement de la garde suisse? À quelle échelle nos guerres de chapelles peuvent-elles bien avoir de l’importance? Comment devenir le levain d’un monde dans lequel nous n’oserions nous fondre de peur de perdre une identité tronquée? Ou d’étioler une foi vacillante?

Dans son exhortation de 1988 sur La vocation et la mission des laïcs dans l’Église et dans le monde, Jean-Paul II écrivait: «Dans [la vie des laïcs] il ne peut y avoir deux vies parallèles: d’un côté qu’on nomme “spirituelle” avec ses valeurs et ses exigences, et de l’autre, la vie “séculière”. Le sarment greffé sur la vigne qui est le Christ donne ses fruits en tout secteur de l’activité et de l’existence». (§59)

À travers ce portrait saisissant de la vocation du laïc – qui parlera sûrement à nombre de clercs aussi d’ailleurs –, c’est donc d’abord à moi que je veux poser la question de l’unité. Persuadée que l’unité commence par moi. Quelle chrétienne serai-je pour le monde? Comment est-ce qu’aujourd’hui, dans mes actions les plus banales et les plus universelles, je vais incarner mon «spirituel» au sein de mon «séculier»? En quoi mon commentaire sera celui qui s’engage résolument vers l’unité?

En prenant conscience que nous sommes déjà chacun levain du monde, voilà que nous trouvons de quoi construire l’unité, cette unité qui commence chez moi comme la paix que je véhicule à travers chacun de mes gestes et chacune de mes paroles. Arme imparable contre la barbarie et le fanatisme qui déjà prennent leurs quartiers en ce début d’année, c’est cette unité qui nous force à abandonner les batailles idéologiques, à dialoguer avec confiance et à combattre pour le Royaume de notre prochain.

Délivrés de la tentation communautariste, voilà que nous pourrons embrasser librement et joyeusement le monde qui nous entoure pour témoigner du Christ.

Et puis, au pire, il reste toujours ce sage adage: «Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi.»

Marie Larivé

L’AFI-CH s’affiche dans “Paroisses Vivantes”

En ce mois de janvier, notre association s’est affichée de la plus belle des manières dans la totalité des paroisses catholiques de Suisse Romande, via le “Dossier” des bulletins paroissiaux “Paroisses Vivantes”.

Nos deux aumôniers, Jean-Baptiste Lipp et Vincent Lafargue, ont même eu droit à deux pages d’interview.

Les 10 pages de ce dossier, remarquables d’actualité et de rigueur, sont à lire ici :

Dossier Paroisses Vivantes janvier 2015

Un grand MERCI à toute l’équipe pour ce beau document !

Aimer l’Eglise en la vivant

Article paru dans la revue “itinéraire”, déc. 2014.

Jean-Baptiste Lipp s’est marié en 1987 avec Dominique Lehner, pianiste de confession catholique, qui lui donnera trois enfants. La même année, il recevait la consécration pastorale à Lausanne et prenait son premier poste à la paroisse réformée de Fribourg … jusqu’en 2004, année du déménagement de la famille à la cure de Belmont-sur-Lausanne. En marge de son ministère paroissial et ecclésial, le pasteur Lipp s’est engagé en divers lieux de dialogue oecuménique. Aumônier protestant de l’AFI-CH (Association des Foyers Interconfessionnels de Suisse), il est également membre du Groupe des Dombes.

Aimer l’Eglise universelle en la vivant

… et oser un mot magique pour lui reconnaître une belle dimension

Je ne peux plus entendre « L’Eglise »

Quand nous disons « l’Eglise », avec un « E » majuscule, ou plus encore « L’Eglise », précédée d’un « L » majuscule, que disons-nous, à y bien réfléchir ? Il est rare, pour être honnête, que nous nommions une entité plus large que notre propre Eglise. Que nous soyons membres d’une Eglise réformée ou de la catholique-romaine, d’une Eglise orthodoxe ou d’une Eglise de type évangélique, nous aurons cette tendance naturelle à envisager l’Eglise dans les limites de notre confession, notre canton ou notre assemblée… Seulement voilà, il n’en est plus ainsi pour moi, depuis longtemps, et de moins en moins ! Combien de fois n’ai-je pas complété, intérieurement, telle déclaration de l’une de nos autorités parlant de « L’Eglise » en me précisant à moi-même : « évangélique réformée du Canton de Vaud » ! Combien de fois n’ai-je pas complété telle information d’un journaliste de la RTS parlant de « L’Eglise » en complétant intérieurement, et parfois même, en l’articulant à voix haute à côté de ma radio : « catholique-romaine » ! Combien de fois n’ai-je pas rétorqué, à telle personne parlant de « L’Eglise », qu’elle parlait juste de son « assemblée évangélique » ! N’est-pas un peu comme lorsque, pour parler de Johann Sebastian Bach, nous disons Bach tout court, alors qu’il y a, chez les Bach, Wilhelm Friedemann, Karl Philipp Emanuel ou Johann Christian, pour ne nommer que quelques-uns de ses fils, compositeurs eux aussi… ?

L’Eglise au pluriel, bien entendu !

On l’aura compris, j’ai de plus en plus de peine à entendre, de la part de celles et ceux qui utilisent le terme « Eglise » sans autre précision, autre chose qu’une confiscation plus ou moins consciente du  vocable par telle confession ou communauté, même s’il ne s’agit, souvent, que d’une omission ou d’une simplification. Mais que s’est-il donc passé dans mon « ecclésiobiographie » pour que j’en arrive à pareille hypersensibilité ? Une première et forte sensibilisation à l’universalité de l’Eglise m’a été transmise lors d’une retraite pour enfants à Crêt-Bérard. Je découvrais, à 14 ans, l’Eglise-Corps du Christ, à la fois une et bigarrée. Merci à Philippe et Anne Bécholey, piliers spirituels de cette retraite, mais aussi, par la suite, à d’autres pasteurs tel Georges Besse, ou professeurs de théologie, tels Claude Bridel et Klauspeter Blaser ! Ma formation m’avait donc prédisposé à une attitude oecuménique ouverte. Mais le grand tournant fut pris lorsque je décidai, avec une jeune femme valaisanne de confession catholique, d’envisager une vie de couple pastoral et pourtant mixte… En effet, sans que je ne lui demande quoi que ce soit – et de toute manière je n’avais, quant à moi, aucune raison ou intention de le lui demander – Dominique me dit ne pas vouloir changer d’Eglise en devenant femme de pasteur. Et d’ajouter tout simplement ceci : « J’aime mon Eglise ! »

Ciel, elle aime son Eglise, et moi, et moi ?

J’ai été positivement marqué par ce « j’aime mon Eglise »  d’une catholique heureuse de l’être et désireuse de le rester! Cette position allait nous mettre au défi de cheminer au sein de l’une et l’autre Eglise, avec cette disparité évidente, mais à corriger dans la mesure de notre possible, d’un couple mixte dont l’un des deux conjoints est engagé professionnellement dans la sienne et pas l’autre. Nous serions d’autant plus attentifs à ne pas perdre tout contact et toute pratique avec l’Eglise de Dominique, que Jean-Baptiste allait s’engager à fond et à vie dans un ministère pastoral réformé… Trois facteurs ont été aidants : 1. la confiance donnée (non sans discussion serrée, il est vrai) par la commission de consécration de l’EERV ; 2. l’occasion qui s’est présentée à nous de commencer et de développer notre vie de couple à Fribourg, dans un contexte à grande majorité catholique, et avec un conseil paroissial réformé très ouvert à l’idée que l’un de ses pasteurs puisse vivre publiquement la mixité confessionnelle de son couple; 3. enfin, la rencontre du mouvement franco-suisse des foyers mixtes, et l’appel de son fondateur, le Père René Beaupère, à intégrer le comité de la revue Foyers Mixtes. Il est clair, avec le recul, que la vigilance du cheminement oecuménique de notre famille a été garantie par le réseau stimulant de quelques couples désireux, comme nous, de « thématiser » leur mixité confessionnelle, entraînant même un peu nos familles d’origine.

Ce n’est pas juste ma vie privée

Deux dépassements sont à signaler dans notre parcours. Tout d’abord, une interprétation ouverte et non restrictive de la notion du pasteur comme « figure emblématique ». En effet, mon parrain de consécration m’avait bien fait comprendre qu’en qualité de représentant d’une communauté réformée, je ne saurais me rendre à la messe, et encore moins y communier, sans engager la paroisse et l’Eglise dont je serais ministre. Retournant l’argument, après l’avoir bien médité, il m’est apparu de plus en plus clairement que je pourrais – et même que je devrais – en tant que pasteur, « emblématiser » un nombre croissant de foyers mixtes…

L’autre dépassement, dans notre petite  « église domestique », a été celui de ne pas nous contenter de la reconnaissance mutuelle du baptême par nos Eglises, lorsque nos trois enfants ont été baptisés (au temple de Fribourg). A quoi bon se réjouir de ce que le sacrement du baptême soit reconnu, si c’est pour en rester à cette étape de l’initiation chrétienne ? Baptisés dans l’Eglise réformée, admis à la sainte Cène, il nous est apparu avec une évidence grandissante que nos enfants, sans pour autant changer de confession, devraient recevoir une préparation à l’Eucharistie, et pourquoi pas, fêter une première communion du côté catholique. Afin d’être à la maison dans l’une et l’autre Eglise. Et surtout d’y vivre, de l’intérieur, la foi et la pratique dans une différence réconciliable. N’y a-t-il pas lieu de promouvoir une sorte de « bilinguisme confessionnel »? On pourrait parler de dépassement, comme on dépasse une règle. Je préférerais, quant à moi, parler d’une poussée…

Je t’aime… moi non plus ?

Deux réflexions m’ont aidé à vivre ces poussées sur un mode réflexif et non impulsif seulement. La première est celle de Paul Dubosson, fidèle du mouvement des foyers mixtes en Romandie. Lors  d’un week-end, ce paysan-professeur résumait on ne peut mieux notre problématique : « Nous nous aimons, mais nous appartenons à des Eglises qui ne s’aiment pas ! » Développons. Monsieur aime Madame, et Madame aime Monsieur (base requise pour une fidélité conjugale). Monsieur aime son Eglise et Madame aime son Eglise (base requise pour une fidélité ecclésiale). Monsieur en vient à aimer aussi l’Eglise de Madame et Madame l’Eglise de Monsieur (mise en commun des fidélités ecclésiales). Restent les question de savoir 1. si l’Eglise de Monsieur et celle de Madame s’aiment vraiment et 2. si elles comprennent l’amour partagé de Monsieur et de Madame pour leurs deux Eglises comme un avantage ou une menace… En attendant, certains couples mixtes, comme le nôtre, ont appris à aimer l’Eglise universelle au travers de celle de leur conjoint !

Cette catholicité qui nous relie

L’autre réflexion qui m’a guidé dans une pleine conscience de notre commune catholicité est celle, apportée par le professeur Gottfried Hammann, lors d’une conférence donnée à Fribourg, alors que je débutais dans le ministère. « Nous devrions tous nous considérer comme catholiques », affirmait déjà celui que, 20 ans plus tard, je côtoierais au Groupe des Dombes. Et l’historien de préciser alors, que si certains sont catholiques-romains ou catholiques-chrétiens, il nous faudrait accepter de nous présenter comme catholiques-réformés, catholiques-luthériens, catholiques-anglicans, catholiques-orthodoxes, catholiques-évangéliques ou autres encore.  En d’autres termes, la catholicité serait une qualité bien trop importante pour la laisser aux seuls romains…  Serions-nous donc prêts à intégrer ce mot « magique » pour intégrer une dimension qui devrait être tout sauf confessionnelle ou confessionnaliste ? Si j’en crois le tout récent petit livret publié par la FEPS à l’occasion des 500 ans de la Réforme, oui ! En effet, parmi les « 40 thèmes pour cheminer », le quatrième est carrément libellé de la manière qui suit (lire encadré). Encourageant, non ?

Encadré

L’Eglise protestante est-elle aussi catholique ? Les protestants se définissent souvent pas opposition au catholicisme, mais cette manière « d’exister contre » n’est plus pertinente. Et le protestantisme s’est construit sur le modèle national, mais la mondialisation est une réalité. Et d’ailleurs, si « catholique » signifie à la fois « continuité de la foi que toutes les ruptures n’ont pas détruite » et englobement de tous les peuples, comment notre Eglise peut-elle être témoin avec d’autres Eglises de la dimension universelle de l’Evangile ? Par rapport à la catholicité de notre Eglise, que voulons-nous affirmer aujourd’hui ? (Quelques références bibliques pour réfléchir : Esaïe 56, 1-7 ; Luc 10, 1-11 ; Ephésiens 2, 11-22). Lire aussi www.ref-500.ch

A Dieu cher David…

David Krähenbühl nous avait rejoint, au comité de l’AFI-CH, avec son épouse Véronia en juin dernier.

Quelle joie nous avons eue à connaître ce couple engagé, fervent, à côtoyer ces deux disciples de l’unité !

Il faut croire que Dieu avait besoin de David là-haut, d’où il continuera – nous en sommes certains – à veiller sur notre association et sur l’unité des Chrétiens comme il veillera tendrement sur Véronia.

A elle et à tous les proches et amis de David, toute notre sympathie.

Le Comité de l’AFI-CH

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Le rapport de la CDPC sur le Baptême

Les deux aumôniers de l’AFI-CH, le pasteur Jean-Baptiste LIPP et l’abbé Vincent LAFARGUE, participent à la Commission de Dialogue Protestants-Catholiques (CDPC), cercle d’experts mandaté bilatéralement par la Fédération des Eglises Protestantes de Suisse (FEPS) et la Conférence des Evêques de Suisse (CES) pour plancher sur divers sujets sensibles de l’oecuménisme.

La commission a travaillé dernièrement sur le baptême, notamment sur sa reconnaissance mutuelle par nos Eglises en Suisse.

Après plusieurs années de travail, voici l’intéressant rapport qui vient d’être publié :

Rapport CDPC sur le Baptême

Bonne lecture ! Et surtout, plaise à Dieu qu’il serve, ce rapport !

AFI-CH

Aumôniers et enseignants

JBL Givisiez

Photo DR : Jean-Baptiste Lipp devant une partie des futurs agents pastoraux catholiques de Suisse Romande

Le 29 avril dernier, les deux aumôniers de l’AFI-CH – le pasteur Jean-Baptiste Lipp et l’abbé Vincent Lafargue – se sont rendus à la maison des séminaires à Givisiez (FR) pour la première édition d’une formation appelée à se renouveler.

En effet, douloureusement conscients du manque de formation oecuménique des jeunes agents pastoraux – notamment d’une sensibilisation à la question des Foyers Mixtes – nos deux aumôniers ont pris le taureau par les cornes et proposé aux formateurs de prêtres et d’agents pastoraux de venir rencontrer les candidats de dernière année pour un après-midi d’échange.

Un programme varié

Au programme de cet après-midi vécu face à une petite dizaine de futurs engagés catholiques : témoignage de Jean-Baptiste sur son expérience personnelle de Foyer Mixte vécu au quotidien avec son épouse Dominique, témoignage de Vincent sur l’oeucménisme au quotidien possible dans les paroisses, présentation de divers documents – notamment les travaux des diocèses de Sion, de l’abbaye de St Maurice et du diocèse de Lausanne-Genève-Fribourg en termes d’oecuménisme ces dernières années, discussion autour du tout neuf élargissement de la reconnaissance du baptême en Suisse, petit quiz oecuménique pour terminer dans la bonne humeur.

L’échange qui a terminé l’après-midi fut riche et très encourageant pour une future édition de ce temps de formation qui aura lieu en automne.

Nous appelons de nos voeux l’office protestant de formation à imiter le CIFT catholique et à proposer cette formation pour les futurs pasteurs, diacres et personnes engagées en pastorale.

AFI-CH

 

 L’oecuménisme change d’évêque !

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Photo DR : Mgr Denis Theurillat, (c) Conférence des Evêques Suisses
Brève bio (tirée du site de la CES) : Né à Epauvilliers, dans le Jura, le 21 septembre 1950, Denis Theurillat fait ses études au collège de St-Maurice puis à l’Université de Fribourg, où il obtient une licence en théologie en 1975. Il est ordonné prêtre l’année suivante et nommé vicaire successivement à Bassecourt (1976-1980) et St-Imier (1980-1983). Curé de la paroisse de Malleray-Bévilard de 1985 à 1997, il est nommé vicaire épiscopal pour la partie francophone du diocèse de Bâle en 1997. Désigné évêque auxiliaire de Bâle le 17 avril 2000, il reçoit la consécration épiscopale par Mgr Kurt Koch le 22 juin 2000. Il est membre du présidium de la CES depuis 2011.

Un nouvel évêque pour les foyers mixtes

Depuis ce printemps 2014, Mgr Denis – comme l’appellent familièrement ses proches – est l’évêque délégué au dialogue oecuménique, remplaçant à cette charge Mgr Charles Morerod que le comité de l’AFI-CH avait rencontré l’automne dernier.
L’AFI-CH se réjouit de cette nomination : jovial et ouvert, Mgr Theurillat saura poursuivre le dialogue, nous en sommes certains, et nous faire avancer sur le chemin de l’unité.
Nous souhaitons à notre nouvel interlocuteur beaucoup de coeur à l’ouvrage, et nous espérons le rencontrer bientôt pour continuer ensemble le chemin, à la suite de celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie (Jn 14,6).
Pour l’AFI-CH : Abbé Vincent Lafargue

7e rencontre francophone – Lyon 2014

la 7ème rencontre francophone des Foyers Mixtes aura lieu à LYON les 1 et 2 février 2014 sur le thème :

1 seule Église, 2 confessions : Quelle vocation pour les Foyers Mixtes ?

Comment aider les Foyers Mixtes à trouver des chemins de convergence respectueux de leur identité ?

Le programme de la rencontre

Cette rencontre est organisée par l’Association Lyonnaise des Foyers Mixtes sous forme d’ateliers participatifs et d’échanges, par l’équipe lyonnaise accompagnée de plusieurs prêtres et pasteurs.

Elle aura lieu à l’Espace Protestant Théodore Monod à Vaulx-en-Velin et permettra pour certains de découvrir ce pôle d’évangélisation récent où l’œcuménisme se vit au quotidien.

Février 2014 ….c’est demain, alors inscrivez-vous dès aujourd’hui à l’aide du bulletin d’inscription. Pour toute précision supplémentaire sur ce week-end, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : associationlyonnaisefoyersmixtes@orange.fr